Réflexion
C'est avec un grand plaisir que je partage le contenu de mon blog.
Si vous désirez utiliser les photos je vous remercie de bien vouloir m'en demander l'autorisation et de mettre un lien vers mon blog.
Merci de votre compréhension et bonne visite.
Réflexion
GESTES ET REGARDS
Noël apporte également quelques gestes de tendresse, quelques gestes de partage, quelques regards brillants de
joie, quelques regards pensifs, quelques regards tendres et tristes à la fois.
Quelques gestes, quelques regards. A quoi nous font-ils penser ?
UN CHANTEUR - UNE VIE
Un petit mot pour ce chanteur, je ne voulais pas en parler hier jour de l'anniversaire de sa mort. Mais
aujourd'hui est un autre jour. Une chanson qui, à une époque, m'a amusée surtout lorsqu'il la chantait sur scène.
Lors de la visite de Sigmaringen, nous sommes restés pensifs devant ceci...
Prie et travaille
Ne sois pas fainéant
Paie tes impôts
Et ferme ta bouche
En visite chez Philippe, Le chorégraphe des
mots,
je suis tombée sur son poème et son lien.
Je ne pouvais que faire suivre.
Autant sauver des vies
La notre étant partie
Il faut juste dire oui
Ce geste pour autrui
Est tout sauf du mépris
Ce soir une surprise m'attendait !
Merci Philippe pour cet acrostiche,
Inspiré de mon histoire personnelle.
Quel beau cadeau tu me fais.
Maman j'ai pris ma carte, me dit un jour mon p'tiot
Avec elle toi aussi, tu peux faire un cadeau.
Mais de quoi parles-tu ? Quelle idée saugrenue !!
Ah oui répondit-il, pour moi tu eus voulu, qu'un,
Généreux donateur, me fit cadeau d'une vie.
On est partis ensemble, chercher la mienne aussi.
Pensez à faire suivre
Un enfant, un parent, un ami
Pourquoi pas juste un inconnu
Peut en survivre
Merci à vous tous
Aux enfants et à leur famille
JE VOUS EN PRIE
Je vous en prie, ne me demandez pas si j'ai réussi à le surmonter,
je ne le surmonterai jamais.
Je vous en prie, ne me dites pas qu'il est mieux là où il est maintenant,
il n'est pas ici auprès de moi.
Je vous en prie, ne me dites pas qu'il ne souffre plus,
je n'ai toujours pas accepté qu'il ait dû souffrir.
Je vous en prie, ne me dites pas que vous savez ce que je ressens,
à moins que vous aussi, vous ayez perdu un enfant.
Je vous en prie, ne me demandez pas de guérir,
le deuil n'est pas une maladie dont on peut se débarrasser.
Je vous en prie, ne me dites pas,
"au moins vous l'avez eu pendant tel nombre d'années",
selon vous, à quel âge votre enfant devrait-il mourir ?
Je vous en prie, ne me dites pas que Dieu n'inflige pas plus que ce que l'homme
peut supporter.
Je vous en prie, dites-moi simplement que vous êtes désolés.
Je vous en prie, dites-moi simplement que vous vous souvenez de mon enfant,
si vous vous rappelez de lui.
Je vous en prie, laissez-moi simplement parler de mon enfant.
Je vous en prie, laissez-moi simplement pleurer.
(Poème de Rita Moran)
Encore un proverbe que je n'aime pas entendre. Il viendrait de Gasconne du temps où les cadrans solaires étaient placés sur le mur sud
des maisons, près de la porte. Chacun pouvait voir si midi était là mais par forcément au même instant selon l'emplacement de la maison.
Facile de répondre de cette manière. On ne prend à nouveau aucun risque, je trouve cela égoïste. J'ai le sentiment que la personne en face ne pense qu'à elle.
Au revoir, je vais passer mon chemin !
VRAI OU FAUX ?
Certains proverbes ont du mal à me convaincre. Il me semble intéressant de partager cette opinion.